ça m'a fait super plaisir, c'était la première fois que je voyais Maxime à la télé (avant les émissions auxquelles il participait n'étaient pas sous-titrées), donc, bien que claquée par ma journée à Lille avec Voz, j'ai attendu jusqu'une heure du mat' pour le voir. Ce qu'on ne fait pas quand on aime hein!

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J'ai été très contente de cette émission, de cette analyse de l'univers du polar avec les différents auteurs, et j'ai eu certaines réponses à mes questions, notamment l'espèce de fascination de Maxime pour le mal, la criminologie, et tout ce qu'il y a autour. Il a expliqué qu'il s'agissait d'une curiosité profonde, quelque chose qu'il essaie de comprendre avant de le partager avec ses lecteurs.
Il avait un humour sympa, je l'ai trouvé très souriant, et pour un auteur avec un tel succès, j'ai trouvé qu'il était quand même modeste et qu'il ne se prenait pas la tête quoi. C'est cool.
Par contre, j’aurais aimé qu’il réponde à une question qui m’a intéressée, elle a été posée à un autre auteur sur le plateau, je crois que c’est Franck Thilliez mais je ne suis pas sûre, je vous le dis, j’étais claquée, j’avais à peine les yeux ouverts lol, bref, ça concernait la dernière phrase d’un livre qui disait en gros « l’essentiel n’est pas la vérité mais la justice », je sais que l’auteur en question a développé cette phrase et je me suis demandée le sentiment de Maxime là-dessus, s’il avait le choix dans un de ses romans, de donner à son personnage central soit la vérité, soit la justice, que choisirait-il ? De son point de vue d’auteur, partage-t-il la même opinion que cette phrase citée ?
Voilà, c’est ce qui m’a intriguée. Ça m’a fait penser à L’âme du mal, dans sa quête de vérité sur le tueur, Brolin a perdu Juliette, et justice ne s’est finalement jamais faite, mais on savait absolument tout du « fantôme de Leland », je me suis demandée si Maxime avait fait ce choix, entre vérité et justice.