Prédateurs, ça fait un bon moment que je l'ai fini, mais comme toujours avec Maxime, le livre laisse une belle impression qu'on oublie pas. J'ai trouvé très intéressant de créer une nouvelle dimension d'horreur des crimes car en temps de guerre. Dans tout autre contexte, le roman aurait était bien mais banal.
Petite critique, le fait que Maxime cherche beaucoup trop à nous envoyer sur la mauvaise route pour découvrir le tueur. Ces petites interludes m'ont laissé penser que le tueur était quelqu'un d'autre alors qu'en réalité, ce n'était pas les pensées du tueurs. Or le tueur fait déjà ça avec les enquêteurs. D'un autre côté ça emmène aussi sur la réflexion des quiproquos et de la subjectivité du mal dans ses propres pensées...