de b00uh » Lun Déc 12, 2005 2:27 pm
Euh, j'ai fini le livre hier soir, donc j'ai encore toutes les impressions en tête à vrai dire.
[Brrrr l'araignée me fait froid dans le dos ceci dit ! Je devrais arrêter de me faire peur, je sursaute en recevant un mail maintenant ! Alalala où va le monde ?! Bref.]Alors, mes impressions sur le bouquin, et bien, toujours aussi bien c'est vrai, mais j'avais cru comprendre que la coupable était Connie d'Eils, dés son entrevue avec Brolin, un peu trop prévisible et puis cette impression que Brolin a sur elle, cette impression qu'il la juge trop vite, enfin tous ces petits détails qui m'ont mis la puce à l'oreille. Mais bon, il fait toujours aussi froid dans le dos.
(Surtout quand lorsque vous enfilez vos bottes vous sentez une sorte de boule au fond...Saleté de paire de chaussettes oubliées ! ! )
On rêve d'un idéal, on le prie, on l'apelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on decouvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable.