Article du Lire d'avril sur Prédateurs

Alors, j'ai reçu le Lire du mois d'avril avec, comme dossier, le polar. J'ouvre, je survole les livres dont on parle et là , je vois la couverture de Prédateurs. Je lis l'article, et là stupéfaction
Enfin, plutôt que de vous raconter, je vous laisse lire:
"Maxime Chattam : Rien ne va plus...
Qu'est-ce qu'il lui arrive, à Maxime Chattam? Ses premiers romans ont révélé le talent prometteur de cet auteur né en 1976, notamment Le sang du temps qui vient de ressortir chez Pocket. Mais depuis qu'il est passé chez Albin Michel, voilà tout juste un an, avec Les arcanes du chaos, rien ne va plus... Ce livre-là , en effet, n'était franchement pas à la hauteur des précédents. Or son nouveau thriller, Prédateurs, vient conforter l'impression que l'écrivain fait fausse route. Sans indication de lieu ni de temps, il nous embarque sur un vaisseau de guerre où un psychopathe mutile sauvagement de jeunes soldats. Charge au lieutenant Craig Frewin et à son équipe de la Police militaire d'identifier le meurtrier, avec l'aide spontanée d'une jeune infirmière. Les cadavres s'accumulent. Les clichés et les lourdeurs de style aussi.
par Delphine Peras"
A vous de réagir...

Enfin, plutôt que de vous raconter, je vous laisse lire:
"Maxime Chattam : Rien ne va plus...
Qu'est-ce qu'il lui arrive, à Maxime Chattam? Ses premiers romans ont révélé le talent prometteur de cet auteur né en 1976, notamment Le sang du temps qui vient de ressortir chez Pocket. Mais depuis qu'il est passé chez Albin Michel, voilà tout juste un an, avec Les arcanes du chaos, rien ne va plus... Ce livre-là , en effet, n'était franchement pas à la hauteur des précédents. Or son nouveau thriller, Prédateurs, vient conforter l'impression que l'écrivain fait fausse route. Sans indication de lieu ni de temps, il nous embarque sur un vaisseau de guerre où un psychopathe mutile sauvagement de jeunes soldats. Charge au lieutenant Craig Frewin et à son équipe de la Police militaire d'identifier le meurtrier, avec l'aide spontanée d'une jeune infirmière. Les cadavres s'accumulent. Les clichés et les lourdeurs de style aussi.
par Delphine Peras"
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