Moi ce qui me fait surtout rire dans ce genre de critique, c'est de voir que la dame consacre les trois quart de son article à nous parler de la manière d'écrire de Maxime (et surtout de sa manière de se documenter, d'interroger des spécialistes etc.), manière qui se rapporte surtout à la trilogie du Mal (éclairez moi, mais dans les Arcanes, il n'y a pas d'autopsie en vue, pas plus que de noirceur de l'âme au sens où la trilogie pouvait la développer...) et pas à ce roman-ci. Ensuite, elle expédie le reste de son papier d'un geste rapide de la main, résumant l'auteur à un opportunisme de fond... qui une fois encore n'a pas trop sa place ici si on a lu le bouquin. Le comparer au Code Da Vinci, d'abord c'est facile (et surtout très tendance dans les milieux de la critique...) et ensuite, plus grave, c'est faux.
Ceci dit, les réactions négatives ne m'étonnent pas, Maxime me l'a confié lui-même : il est "mûre" pour les retours de bâtons maintenant que son succès atteind largement le grand public. Quand il était encore une "sensation" francophone pour les seuls initiés (et lorsque certains critiques étaient encore convaincu que la trilogie du mal était une... traduction ) en parler dans les "salons" était smart... Aujourd'hui, sa popularité en fait automatiquement un sujet de raillerie... Bienvenu en France