C'est le message du livre : chacun a sa propre vérité
C'est là que le bas blesse pour moi. Pas tant dans le livre que dans ce qui s'en dit ici.
Par definition la vérite est unique au sens où elle est factuelle.
Il ne peut exiter plusieurs vérités d'un meme fait. La lumière est allumée ou éteinte. C'est frustrant mais binaire.
Heureusement, nos vie ne se resument pas des succession d'eveneùent binaires. On a inventé les ordinateurs pour cela. L'infini des possible : voila l'humain.
Dans ce roman il n'est pas question VéritéS mais de subjectivite. Car objectivement la vérité ne peut être établie. les pistes sonts multiples. Certains mentant, d'autres revent. Chacun comble les vides de l'histoire par ce qu'l voudrait ou au contraire refuserait de voir dedans. Là , le roman devient miroir. Mais un miroir n'ivente pas l'image, il la refléchi, parfois la deforme legerement. Et c'est bien à ça que oue l'auteur. A offrir les prismes de vision des uns et des autres. A la fin, pas de révélation sur l'identité de Kaiser Saussaye... Nous sommes au mieux dans la peau de gaverline persuadé de connaitree l'identité de Jack. Mais la vérité ne peut être brandie en cet instant. Et quelm inconscient celui qui se battrait pour defendr cette bribre construite de verité...
Là se trouve une représentations du Sang du Temps : les légendes, les récits colportés où la réalité épouse le fantastique, où les dragons sont terrassés par les archanges, où l'on décide d'ériger un temps en leur memoire, en leur crane percé... Le crane d'aubert appartient au murmure du vent, le Mont se dresse face à nous.
Pour moi, une des morales de ce livre...