Je te confirme, Jézabel est bien anglaise. Et ce n'est pas dans les rues du Caire qu'elle erre enfant, mais celle d'Alexandrie.
Oki. M'enfin, je ne sais pas si son enfance fût plus heureuse, moins difficile à Alexendrie qu'elle ne l'aurait été au Caire.
Et quitte à briser un de tes fantasmes, toutes les filles égarées ne sont pas la proie de violeurs pervers ! Et surtout rien dans le roman ne permet de le déduire... En plus elle n'a pas l'air traumatisée... plutôt chaude la Jézabel non ?
Heu, je n'ai pas ce genre de phantasme
Et je n'ai rien affirmé, j'ai juste posé une question sans même tenté de me servir d'une quelconque réponse... c'était juste une remarque comme ça....
Mais je connais une deux victime de ce genre de chose qui sont très chaude aussi

très très chaude même.
Quant à la présence du manipulateur sur les lieux, à moi elle paraît évidente. Sinon comment prendrait-il son plaisir de sadique ?! Rien qu'en pensant à ce que doit subir l'enfant avec le monstre pendant que lui-même parle avec des amis, se cure les oreilles ou fais pipi? Je sais bien qu'on vit à l'heure du virtuel, mais quand même, pour ce genre de pulsions, rien ne vaut le live (enfin j'imagine, je n'en ai pas de ce genre-là , mais bon, celles que j'ai me le laissent penser
Sur ce point, je me reporte à l'explication de Jérémy lié au plaisir de la chasse. Il explique alors que le vrai plaisir n'est pas tellement dans la mise à mort, mais dans la traque. Dans le fait de suivre sa proie et de l'amener là ou on le veut.
Le plaisir dans ces meurtres peut aussi être lié à la manipulation, et au sentiment de toute puissance qui en résulte.
La sensation d'être le seul au monde à savoir la vérité, d'être supérieur aux autres, de dominer le monde... Ce sont les formes de plaisirs que peut retirer le manipulateur, sans même aller voir les corps des enfants.
Non, non, je ne suis pas encore mort....

Si le sang s'efface avec le temps, le temps ne règle pas les dettes de sang (houlà , me suis creuser la tête là )